grands barrages de Maurienne .

Publié le par savoisien

http://www.sabaudia.org/v2/dossiers/barrages/public4.php

Les grands aménagements d'EDF
- en Maurienne.

   L'aménagement de la Maurienne, quoiqu'à l'origine plus précoce et entre les deux guerres plus novateur, comme en témoigne encore La Bissorte,

 n'a vraiment repris qu'après la fin des grands travaux en Tarentaise,

lesquels vont influencer pour une bonnes part les réalisations de haute-Maurienne.

 

 

 

 

 

 

 

  Bissorte, 

La retenue du barrage de Bissorte. Photo Maurice MESSIEZ.

 

au-dessus de La Praz, à 2 050 m d'altitude, apparaît toujours comme un barrage des plus classique. Les travaux pour rendre à l'ombilic devenu alpage son ancien lac , commencent en1930 : on élève une digue-poids longue de 545 m, large à la base de 49 m et haute de 63 m, toute revêtue d'un parement de pierres pour alors  protéger le béton. Elle retient 39 millions de m3 d'eau, mais avec les apports complémentaires ce sont 100 millions qui sont alors disponibles par an. L'usine, au bas de la chute, à 938 m, est novatrice : elle peut en quelques minutes fournir 75 000 kw/h, et, autre progrès, grâce à la technique "autofrettée", les frettes étant des cercles métalliques auxquels la conduite adhère par de hautes pressions, il n'y a qu'une seule conduite pour l'alimenter.

 

 

 

        En 1980, après La Coche, Bissorte se présente comme un excellent outil pour réaliser une seconde "station de transfert d'énergie par pompage",  afin de remonter, à l'aide d'une nouvelle conduite forcée installée en galerie, de l'eau turbinée aux heures de pointe par l'usine de production et conservée dans une retenue proche de la centrale de renvoi, au "Pont des Chèvres" à 923 mètres d'altitude. Mis en service entre 1986 et 1987, l'ensemble Bissorte 2/ Bissorte 3 ou Super-Bissorte est donc aujourd'hui constitué de deux usines souterraines, très souples, qui fournissent 165 GWh.

 

 

 

 

 

 

 

     Aussois

 

Les grands aménagements d'EDF
- en Maurienne.

   L'aménagement de la Maurienne, quoiqu'à l'origine plus précoce et entre les deux guerres plus novateur, comme en témoigne encore La Bissorte, n'a vraiment repris qu'après la fin des grands travaux en Tarentaise, lesquels vont influencer pour une bonnes part les réalisations de haute-Maurienne.

 

 

 

  Bissorte, 

La retenue du barrage de Bissorte. Photo Maurice MESSIEZ.

 

au-dessus de La Praz, à 2 050 m d'altitude, apparaît toujours comme un barrage des plus classique. Les travaux pour rendre à l'ombilic devenu alpage son ancien lac , commencent en1930 : on élève une digue-poids longue de 545 m, large à la base de 49 m et haute de 63 m, toute revêtue d'un parement de pierres pour alors  protéger le béton. Elle retient 39 millions de m3 d'eau, mais avec les apports complémentaires ce sont 100 millions qui sont alors disponibles par an. L'usine, au bas de la chute, à 938 m, est novatrice : elle peut en quelques minutes fournir 75 000 kw/h, et, autre progrès, grâce à la technique "autofrettée", les frettes étant des cercles métalliques auxquels la conduite adhère par de hautes pressions, il n'y a qu'une seule conduite pour l'alimenter.

 

        En 1980, après La Coche, Bissorte se présente comme un excellent outil pour réaliser une seconde "station de transfert d'énergie par pompage",  afin de remonter, à l'aide d'une nouvelle conduite forcée installée en galerie, de l'eau turbinée aux heures de pointe par l'usine de production et conservée dans une retenue proche de la centrale de renvoi, au "Pont des Chèvres" à 923 mètres d'altitude. Mis en service entre 1986 et 1987, l'ensemble Bissorte 2/ Bissorte 3 ou Super-Bissorte est donc aujourd'hui constitué de deux usines souterraines, très souples, qui fournissent 165 GWh.

 

 

 

     Aussois

 

Les grands aménagements d'EDF
- en Maurienne.

   L'aménagement de la Maurienne, quoiqu'à l'origine plus précoce et entre les deux guerres plus novateur, comme en témoigne encore La Bissorte, n'a vraiment repris qu'après la fin des grands travaux en Tarentaise, lesquels vont influencer pour une bonnes part les réalisations de haute-Maurienne.

 

 

 

  Bissorte, 

La retenue du barrage de Bissorte. Photo Maurice MESSIEZ.

 

au-dessus de La Praz, à 2 050 m d'altitude, apparaît toujours comme un barrage des plus classique. Les travaux pour rendre à l'ombilic devenu alpage son ancien lac , commencent en1930 : on élève une digue-poids longue de 545 m, large à la base de 49 m et haute de 63 m, toute revêtue d'un parement de pierres pour alors  protéger le béton. Elle retient 39 millions de m3 d'eau, mais avec les apports complémentaires ce sont 100 millions qui sont alors disponibles par an. L'usine, au bas de la chute, à 938 m, est novatrice : elle peut en quelques minutes fournir 75 000 kw/h, et, autre progrès, grâce à la technique "autofrettée", les frettes étant des cercles métalliques auxquels la conduite adhère par de hautes pressions, il n'y a qu'une seule conduite pour l'alimenter.

 

        En 1980, après La Coche, Bissorte se présente comme un excellent outil pour réaliser une seconde "station de transfert d'énergie par pompage",  afin de remonter, à l'aide d'une nouvelle conduite forcée installée en galerie, de l'eau turbinée aux heures de pointe par l'usine de production et conservée dans une retenue proche de la centrale de renvoi, au "Pont des Chèvres" à 923 mètres d'altitude. Mis en service entre 1986 et 1987, l'ensemble Bissorte 2/ Bissorte 3 ou Super-Bissorte est donc aujourd'hui constitué de deux usines souterraines, très souples, qui fournissent 165 GWh.

 

 

 

     Aussois

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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